Étiquette  guerre 1870

Second siège de Paris : Au château de Becon, Auguste Cazes, du 7e d’artillerie a le fémur droit fracturé par l’écroulement d’une toiture. François Evin, natif de Lignay, Loire-Inférieure, du même régiment, a la jambe gauche fracturée pour les mêmes raisons.…

Second siège de Paris : Quel est la situation du siège ? Depuis l’attaque du 17 avril, l’insurrection est définitivement bloquée sur la rive droite. Le corps l’Admirault s’installe sur la défensive, sans chercher à gagner plus de terrain sur les communards.…

Second siège de Paris : Dans « l’officiel », la suppression de la presse est indiquée et « expliquée » par la commune en ces termes : « Le Commune, considérant qu’il est impossible de tolérer dans Paris assiégé des journaux qui prêchent ouvertement la guerre civile,…

Second siège de Paris A l’ouest de Paris, depuis six jours, le général Ladmirault combat les fédérés sur la rive droite de la Seine. Il réussit à la refouler, occupant Colombe, Asnières et Bois-Colombes. Il établit des avant-postes à Neuilly.…

A Versailles, le titre de « président de la République » est proposé pour trois ans au chef de l’Etat. Second siège de Paris : Les habitants de Paris semblent bien moins enthousiastes qu’au début de la Commune. Les élections devant compléter l’assemblée…

Second siège de Paris : Les communards mettent à sac l’église Saint-Leu. Ce ne sera pas la dernière fois. Le curé de la paroisse, l’abbé Lartigue, a été arrêté, comme pratiquement tous ses confrères. Il évitera les exécutions et sera libérés…

  Second siège de Paris : le village de Colombes est occupé et la redoute de Gennevilliers est prise. Le matériel de la société de secours aux blessés est placé sous la surveillance de Roussel, médecin délégué de la commune, et…

Second siège de Paris : Au 91e de ligne, César Beghien est blessé à la main droite par un coup de feu. Joseph Fricot, vingt-et-un ans, natif de Vereux, Haute-Saône, caporal au 17e chasseurs à pied, est blessé à l’œil gauche…

Second siège de Paris : La commune décide la destruction de la colonne Vendôme. « La Commune de Paris, considérant que la colonne impériale de la place Vendôme est un monument de barbarie, un symbole de force brutale et de fausse gloire,…