Un jour Une commune m’emmène à Saint-Jean-d’Abbetot, aujourd’hui rattaché à la Cerlangue, avec la naissance de ma sosa Osithe Hermenie Bougon.
Saint-Jean-d’Abbetot est rattachée à La Cerlangue depuis 1824. Autant dire que les deux communes sont proches dans ma généalogie.
Osithe y naît le 24 juillet 1818. La coquine aura ma sosa 19, Hermenie Virginie Bougon enfant naturelle, à la Cerlangue, le 5 mai 1840. Elle attendra 1852 pour se marier avec Pierre Florentin Seyer, à Saint-Antoine-la-Forêt, où naissent ses enfants légitimes.
La mère d’Osithe, Marie Thérèse Boivin, est également née à Saint-Jean-d’Abbetot, le 7 juin 1785.
Au total, pour l’instant, huit de mes sosas ont eu au moins un évènement à Saint-Jean-d’Abbetot, et seulement cinq collatéraux. Mais il y a des lacunes dans les registres. C’est peu en regard d’une généalogie, mais je ne doute pas d’en trouver d’autres.
Ma sosa la plus ancienne sur la paroisse, Jeanne Agasse, n°601, naît juste après la lacune, le 26 novembre 1663.
Indépendamment de ma famille, Saint-Jean-d’Abbetot, est connue pour son église, classée dans la première liste dès 1840.
Elle est antérieure à 1066. La nef et le clocher datent du XIIIe siècle, sa crypte et son chœur en partie du XIe.
Aucun doute, mes ancêtres y ont suivi la messe.
Aujourd’hui, dernier volet des reportages de France 3 Haute-Normandie sur le patrimoine de la Pointe de Caux. J’ai hésité à faire un billet sur cette église Saint-Jean d’Abbetot dans la mesure où l’on s’éloignait vraiment du Havre. Cependant, en découvrant cette église, je me suis dit qu’elle valait bien un billet.